En l’absence d’un véritable fonds de financement consacré au cinéma, l’arrivée du PAIGC-UE a été salué comme une bouffée d’oxygène qui pourrait contribuer durablement à relancer le cinéma national. A peine a-t-on publié les résultats du premier appel à projet que l’on se rend très vite compte que la relance promise ou rêvée ne sera
Nissi Joanny TRAORE se plait à répéter à tous que « Sossobala » n’est pas un film sur le balafon, et il a fort raison. C’est beaucoup plus et beaucoup mieux que ça. Le Sossobala, existe depuis 1211, c’est un témoin vivant d’une grande partie de l’histoire mandingue. De Soumahoro Kanté à nos jours, il est le
Les films d’Alain Gomis ont toujours pour moi cette puissance et cette profondeur thématique et esthétique conférée par la magie du cinéma à ceux qui le maîtrisent. De son court métrage « Petite Lumière » en passant par « l’Afrance » ou « Tey », Gomis nous a largement prouvé qu’il était doué et taillé pour le 7e art. Comment
La semaine passée, nous nous sommes intéressé au montage et au jeu d’acteur dans le cinéma burkinabè. Cette fois-ci, nous fermons l’analyse du triptyque des faiblesses du septième art par l’absence de scénaristes et de bons scénarios. Une absence qui enlaidit notre cinéma, à l’image d’un affreux cratère sur son visage. Il est un constat
Lors de la clôture de l’espace junior, la série « la famille démocratique » fut projetée pour le bonheur des tous petits, qui étaient très attentifs lors de la projection. C’est alors après la cérémonie que nous sommes approchés du réalisateur Inoussa KABORE pour en savoir plus sur cette famille hors du commun. POURQUOI « LA FAMILLE DEMOCRATIQUE » ?