Le réalisateur Daniel KAMWA est un résistant au sens propre comme au sens figuré. Il a résisté au temps qui passe, résisté aux mutations du secteur audiovisuel. A 82 ans sonnés, certains auraient préféré qu’il se la coula douce, et qu’il laissa la place à plus jeune oubliant que dans un secteur comme le cinéma,
Isaac HOUETO, la quarantaine détient une boutique d’appareils électroménagers dans un quartier populaire. Sa boutique est convoitée par un expatrié, richissime homme d’affaires qui souhaite raser une grande partie du quartier et y construire un centre commercial de haut standing. Isaac va se retrouver accusé d’une sombre affaire de meurtre. Injustice ! C’est exactement le titre
Guled est fossoyeur. Jeune il rencontre une jeune fille en pleurs. Il apprend que les parents de cette dernière veulent la marier de force à un vieil homme qu’elle ne connait même pas. Il propose de l’épouser, et de fuir le village. Jusque-là, rien que du classique. Mais des années après, la femme que Guled
Dès le générique début, la référence avec le célèbre western de Sergio Léone est flagrante, innovante, captivante. Puis on découvre qu’il sera question de… pétanque, un sujet pas franchement sexy mais on s’est déjà pris au jeu (au piège ?) et on veut avancer. Le mérite revient à l’auteur-réalisateur d’avoir emprunté une démarche originale et un
Ghofrane, jeune Tunisienne noire de 25 ans, victime de discriminations raciales, décide de s’engager en politique. « Entre ambitions et désillusions, nous suivons le parcours de Ghofrane, dont le chemin est parfois trébuchant. Cherchant à convaincre son entourage comme les inconnus qui croisent son chemin militant, la campagne électorale de Ghofrane nous révèle les multiples visages