Née au Rwanda, ayant vécu entre le Québec et le Tchad où elle a travaillé pendant des années sur des productions audiovisuelles, l’auteure AlliahFAFIN réalise son premier court-métrage fiction « Amani ». En résumé, c’est un conte, sur la vie d’un jeune garçon passionné par la danse. Il est encore innocent et plein de joie de vivre.
« Ce qui compte, c’est d’avoir quelque chose à dire. » Voila le crédo de Karim BOUKHARI, réalisateur de ce film et par ailleurs journaliste, poète, nouvelliste, progressiste et militant. Et son court-métrage « Aziya » transpire de cette vision et de cette force que lui confère toute son expérience. « Adil, homme arabe, commande une prostituée pour la nuit.
Sur les côtes somaliennes, depuis une dizaine d’années, il y a un déversement illégal de produits toxiques entrainant la propagation de maladies. Beaucoup de gens ont quitté leurs villages, cependant, certains sont restés et ont vécu avec les conséquences. C’est l’histoire d’un jeune homme qui voit son père gravement malade mais refusant de partir comme
La veille de son mariage, les parents découvrent que la jeune fille qui doit se marier n’est plus vierge. S’engage alors un long périple pour « réparer » la jeune fille avant la nuit de noces. Entre marabouts, médecins clandestins, elle erre dans les rues et fini par assumer son statut. La lumière est crue, naturelle et
Un foyer traditionnel dressé sur trois pierres, une marmite posée dessus. En milieu bambara, elles symbolisent : le mariage et la discrétion, la fraternité et la solidarité, l’amitié et le soutien. Selon son auteur « le film exprime l’évolution des croyances d’ordre aussi bien mystiques que comportementales : la place de l’homme et de la femme, celle des