Le premier forum de Coproduction national s’est tenu du 18 au 21 Mai 2021 au siège du Fespaco et a regroupé près d’une soixantaine de maisons de productions. Organisée par l’Association des Producteurs et Productrices de Cinéma et de l’Audiovisuel (APCIA/BF), pilotée par Mamounata NIKIEMA de Pilimpiku production, le forum a reçu et présenté une
« On peut tourner, là ? » … la silhouette gracile du jeune réalisateur bouge sans cesse, il veut s’assurer que tout est fin prêt pour lancer la journée. « On vient de boucler le premier mois de tournage, il nous reste encore deux mois… » Vendredi 07 mai 2021, visite sur le plateau de tournage de la deuxième
Samedi 1er Mai 2021. En cette journée internationale des travailleurs, un épais nuage de poussière d’origine désertique s’abat sur le Burkina. Difficile de voir à plus de quelques mètres, et les masques de la Covid qui avaient été rangés, sont de sortie à nouveau. A Kaya, ville située à 100 km de la capitale, un
Fort du succès international du FESPACO, fier de la qualité de la production cinématographique nationale et de la présence de quelques symboles du cinéma africain sur ses terres, le Burkina Faso passait pour être une place incontournable de la culture et du cinéma en Afrique, et Ouagadougou se targuait d’être « la capitale du cinéma africain ».
Avant toute chose, disons ce qui doit être dit : Le documentaire est bien chez lui à Koudougou. Pourquoi ? C’est bien de Koudougou la frondeuse que le capitaine Boukari Kaboré dit le Lion, a organisé la résistance lors de l’assassinat de Thomas Sankara en 1987. C’est bien cette ville rebelle qui a vu naitre Norbert Zongo