Depuis quelques années, la France, l’Europe ou tout simplement les grandes capitales occidentales ont décidé, parlant de la Côte d’Ivoire que « c’est ici que ça se passe », et cela dans plusieurs domaines : implantations d’industries, résidences d’ambassadeurs, sièges d’organismes internationaux, grandes rencontres internationales, etc…Il n’y a que pour la culture qu’on pouvait dire parlant du Burkina,
Dans un article critique sur la sélection documentaire du FESPACO en 2011, Olivier Barlet écrivait dans Africultures « La pédagogie, voilà la grande tentation. Le public juge souvent un film à son message et apprécie les films qui confortent ce qu’il pense déjà, non sans vouloir découvrir une nouvelle culture et de nouveaux visages, voire se
Certes, défigurer une jeune technicienne sur un plateau avec un tesson de bouteille est une grave chose qui ne peut provenir que d’un irresponsable, et qui surtout ne redorera pas le blason d’une profession (la nôtre) très souvent brocardée pour le manque de… « Sérieux » de ses membres, mais mon propos du jour traite d’autre chose. A
Durant la guerre de l’Indépendance, dans le grand désert algérien (au milieu de nulle part) un petit village est assiégé par une troupe de soldats Français en attendant des renforts. Parce qu’on croit que le village cache des combattants ennemis alors qu’il n’y a que femmes, enfants et personnes âgées. « Il va falloir tirer sur
Dès le début, le film, nous plonge dans une histoire d’amour entre Tiyaa et son fiancée fantôme. Petit à petit, le récit s’éclate, se perd, se dilue dans d’autres histoires …Dommage qu’ici comme ailleurs ce soit les devins marabouts qui voient juste ! Le récit par moments est alourdit par des évidences mais globalement sa progression