La pandémie de la Covid bat son plein, mais un autre drame se joue, dehors dans les rues vides : celui des « sans domicile fixe », qui ne peuvent plus faire la manche. L’un d’eux a fait 10 km sans rien trouver. Poignant, inoubliable… L’autre fouille les égouts à la recherche de la moindre pièce…. Une prostituée
Proposé dans la catégorie documentaire, cette œuvre se révèle être (au mieux) un bon reportage télé pour découvrir les richesses culturelles des chants et danses de la région Centre-Bénin. Alourdi par un commentaire trop présent et presque trop savant, la longue compilation de moments où danses et chants sont commentés, et sans interviews, finissent par
Des images d’archives en noir et blanc montrant des femmes de tous âges et de tous les horizons, une bande sonore riche, tout cela fait de ce film une véritable performance visuelle et sonore qui vaut le détour.L’auteure nous plonge au cœur de l’histoire et du social en nous rappelant le rôle et la place
Nissi Joanny TRAORE se plait à répéter à tous que « Sossobala » n’est pas un film sur le balafon, et il a fort raison. C’est beaucoup plus et beaucoup mieux que ça. Le Sossobala, existe depuis 1211, c’est un témoin vivant d’une grande partie de l’histoire mandingue. De Soumahoro Kanté à nos jours, il est le
Les films d’Alain Gomis ont toujours pour moi cette puissance et cette profondeur thématique et esthétique conférée par la magie du cinéma à ceux qui le maîtrisent. De son court métrage « Petite Lumière » en passant par « l’Afrance » ou « Tey », Gomis nous a largement prouvé qu’il était doué et taillé pour le 7e art. Comment